C’est faux !
La perte de confiance ne peut pas être un motif de licenciement recevable.
La Cour de cassation juge en effet que la notion de perte de confiance a un caractère trop subjectif et ne peut fonder en tant que tel un motif de licenciement.
Les éléments constituant cette perte de confiance peuvent toutefois être appréciés afin de permettre de justifier une mesure de licenciement : ce sont ces derniers et non la perte de confiance qui peut en résulter qui peuvent éventuellement justifier la mesure.